samedi 27 février 2010

Avis de recherche.


Un adolescent de 17 ans, diagnostiqué schizophrène en fugue depuis plus d'un mois, reste toujours introuvable.
Voir l’article complet :
www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2010/02/25/article_un-adolescent-schizophrene-de-17-ans-en.shtml
Benjamin Wadoux habite dans le nord de la France près de Berk.
Il mesure 1,80 m, a les yeux marron et les cheveux bruns.
Le parquet de Boulogne sur Mer a ouvert une information judiciaire pour « disparition inquiétante ».
Contact : commissariat de Berck, Tél : 03 21 09 84 17.

samedi 20 février 2010

Que faire de nos fous ?


Un documentaire de Claire Lajeunie et Julie Zwobada,
Diffusée le 02/02, à 23h15 et re le 19 février sur France 3
Que faire de nos fous ?
Déjà le titre indique une connotation rétrograde, la schizophrénie est une maladie psychique, rien qu’une maladie dont la fragilité est génétique ; les malades ont un chemin douloureux qu’ils n’ont pas demandé.

Et la prévention...
Peut-être qu’avant de constater les dégâts, le mieux serait de faire de la prévention explicative afin que beaucoup de postulants comprennent dès les premiers symptômes leur souffrance, demandent une prise en charge thérapeutique urgente qui permettrait de ne pas rester prisonnier de leur incompréhensible maladie, voir de passer à côté en n’entrant pas en schizophrénie active. Et certainement ne pas avoir recours à l’alcool et aux drogues pour calmer leurs angoisses.

Le double langage.
Comprendre que cette maladie est déstabilisante parce-qu’incomprise du fait des symptômes positifs que sont les hallucinations : entendre des voix, voire l’inexistant.
Tant que dans les cultures religieuses, ceux qui entendent ou voient seront considérés être en contact avec Dieu : nos dénommés prophètes et autres saints et saintes, aucune prévention ne sera admise et rien ne bougera pour faire évoluer positivement vers un retrait significatif le nombre de nos malades et certainement diminuer la dureté subit.
C’est l’une des principales raisons à ce que la schizophrénie reste taboue avec son déni « culturel », car c’est une remise en cause du pouvoir religieux.

Soyez en certain : Religions et schizophrénie ne font qu’un.
Dieu a dit ; mais à qui l’a-t-il dit ? Dr P. Rouby psychiatre: «Quand le ciel s’ouvre et que Dieu m´appelle par mon nom... c’est que la psychose a pris le dessus». Alors pourquoi il est dit que « dieu » parle-t-il toujours dans la langue ou le patois de la personne ?
C’est comme les rêves et les cauchemars de nuit.
Une maladie ça ne se vénère pas, ça se combat ; je compte sur vous.
Hallucinant non!

L’essentiel :
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lundi 15 février 2010

La psychose et le religieux.


Pourquoi un non-croyant ne peut convaincre un croyant sur son jugement d’irréalité ?
La réalité et l’irréalité sont deux zones cérébrales bien distinctes et qui ne communiquent pas entre elles.
Vivre dans l’irréalité des croyances, c’est faire abstraction et le rejet de toutes démonstrations logiques et vérifiables.
La dissociation cérébrale schizophrénique.
Elle est un viol de la pensée réfléchie qui ne peut donc admettre le contradictoire, dont notre origine évolutive des espèces sur des millions d’années ; parce-que cette version est conflictuelle au surfonctionnement cérébral altéré du psychotique ; une complexité cérébrale maladive qui prend tout son espace de réflexion. La réponse simpliste par l’immuable, où tout est crée par un Dieu, est le contrepoids à sa complexité.
Les arguments scientifiques.
Plus ils seront démontrés, plus ils seront réfutés par les croyants.
C’est pour cette raison que la religion fabrique son univers, son histoire parallèle à la vie qu’est sa création divine avec son enrobage de fausse vérité permettant ainsi à leurs délires mystiques maladifs d’asseoir tout cet imaginaire dans une production de textes pléthoriques. Cette surabondance défie tout ce que la communauté scientifique publie dans ses documents par la recherche de preuves tangibles.
Convaincre est inutile.
N’essayez donc jamais de convaincre un croyant à la réalité, vous ne serez même pas écouté et relégué parmi les incrédules. Et dans certaines religions extrémistes certainement catalogué(e) « Ennemi(e) de Dieu » passible de la peine d’un châtiment extrême.
Que la médication.
En schizophrénie tant que la médication, par la régulation de la neurotransmission dont les vecteurs sont la dopamine et la sérotonine, ne donnera ses effets de coupure avec l’irréalité, aucune autre voie explicative ne sera possible ; combattre cette maladie n’est donc résolvable que par la voie de la chimie médicale.
A quand les hosties au Zyprexa ?
L’essentiel :
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samedi 6 février 2010

Virus mentaux.


Pourquoi les croyances fausses, religieuses ou laïques, sont-elles donc à ce point répandues ?
Source :
www.lesmutants.com/religionpath.htm

Sans doute parce qu´elles sont inscrites dans le fonctionnement même du cerveau.
Un exemple fort répandu de ces pathologies : la religion.

Pour un esprit sensé, il est difficile de croire que le monde a été créé en six jours, qu’une tablette d’argile est apparue sur une montagne, qu’une mer s’est ouverte en deux pour laisser passer une horde de fuyards, qu’un individu mort sur une croix est réapparu vivant peu après, que cet individu marchait sur l’eau et était né d’un Saint Esprit et d’une femme vierge, etc.
Bien que fausses, de telles assertions ont pourtant une capacité étonnante à circuler de cerveaux en cerveaux.
Richard Dawkins les a qualifiées à juste titre de "virus mentaux", vivant et prospérant comme leurs homologues biologiques aux dépens des cellules cérébrales qui les hébergent et les transmettent.
Notons au passage que les religions ne sont pas seules en cause. L´idéologie marxiste, la psychanalyse freudienne ou l´astrologie divinatoire sont des exemples de maladies mémétiques modernes.
Il est aussi certain que des croyances vraies se nommeraient «certitudes».
La schizophrénie :
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