Les schizophrénies.
Elles sont cataloguées selon les symptômes révélés.
Simple :
Les symptômes négatifs sont au premier plan : appauvrissement des relations socioprofessionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants. Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué.
Paranoïde :
Où les hallucinations et/ou le délire plus ou moins mal structuré prédominent. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire domine le tableau clinique et répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques.
Héphrénique :
Où le repli autistique prédomine. La dissociation de l’unité psychique du sujet est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques.
Catatonique :
Avec des mouvements rares ou déréglés. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qu’on lui impose, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou bien répète toujours les mêmes phrases. Actuellement, cette forme se traite et est donc rarement définitive.
Dysthymique ou schizo-affective:
Avec des troubles majeurs de l'humeur. Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent au moins en partie aux traitements par lithium.
Pseudonévrotique :
Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants de névrose (hystérique, phobique, anxieuse ou obsessionnelle).
Pseudo-psychopathique ou « héboïdophrénique » :
Il coexiste des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.
http://champion20.monsite.orange.fr
Elles sont cataloguées selon les symptômes révélés.
Simple :
Les symptômes négatifs sont au premier plan : appauvrissement des relations socioprofessionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants. Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué.
Paranoïde :
Où les hallucinations et/ou le délire plus ou moins mal structuré prédominent. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire domine le tableau clinique et répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques.
Héphrénique :
Où le repli autistique prédomine. La dissociation de l’unité psychique du sujet est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques.
Catatonique :
Avec des mouvements rares ou déréglés. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qu’on lui impose, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou bien répète toujours les mêmes phrases. Actuellement, cette forme se traite et est donc rarement définitive.
Dysthymique ou schizo-affective:
Avec des troubles majeurs de l'humeur. Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent au moins en partie aux traitements par lithium.
Pseudonévrotique :
Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants de névrose (hystérique, phobique, anxieuse ou obsessionnelle).
Pseudo-psychopathique ou « héboïdophrénique » :
Il coexiste des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.
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